Ce fut un meurtre, et rien d’autre. Mais depuis que les députés de gauche, à commencer par les écologistes, comme S. Rousseau, ont décidé de ne pas alourdir le choc des mots, ils ont appelé ça : un féminicide ! Hier encore, un membre d’un groupuscule manifestant pour empêcher une jeune députée, parce que du RN, d’observer une minute de silence dans le centre de la ville de Vienne (Isère), se revendiquant de LFI, ils ont décidé d’utiliser ce mot, comme pour minimiser l’horreur de ce qui s’est passé dans le bois de Boulogne. Ce qu’il faut simplement rappeler, c’est qu’un meurtre dans un bois par une personne qui, de plus, aurait violé une jeune femme, il ne peut s’agir que d’une volonté de minorer le responsable, pour ne pas mettre en avant le fait qu’il était sur le territoire français avec un OQTF dans la poche. Et surtout qu’il avait bénéficié de l’attitude d’un juge, qui, pourtant, avait inscrit la dangerosité de l’accusé. Mais qui se cache derrière des règles et des lois, qui, pourtant, en d’autres cas, ne les limiteraient pas ! Mais voilà, je l’ai déjà dit, notre magistrature française est majoritairement, c’est bien connu, infiltrée par l’esprit de la gauche et l’extrême gauche. Comme pour S. Rousseau, il n’a fallu que quelques jours ou hier à peine, pour faire connaitre cet individu de Vienne, la victime devenant moins importante que le coupable (encore doit-on, selon la lettre, le précéder malgré les faits parlant du qualificatif de « présumé » coupable). Ce n’est pas d’aujourd’hui, mais comment ces élus de la République peuvent-ils ne pas aimer les Français à ce point ? Comment comprendre que leurs chefs respectifs peuvent décider que le meurtrier est plus important que la victime, si toutefois cette victime est française et catholique ? Car dans le cas du jeune qui conduisait sans permis, de façon dangereuse et qui fut arrêté et touché mortellement par un policier, pour eux là, il y a eu meurtre ?
Alors, je vous le dis de façon simple, avec les mots d’Albert Camus : « Mal nommer les choses, c’est ajouter au malheur du monde ! » Mais aussi une autre pensée : « Être de gauche ne doit pas empêcher d’être honnête et surtout d’avoir un peu de compassion.
Depuis que J.L. Mélenchon a décidé que seule la fureur pouvait permettre de prendre un jour ou l’autre, le pouvoir, il a été suivi par nombre d’extrémistes, d’ultras de gauche, mais aussi des écologistes, des socialistes soumis à l’insoumis et dans une moindre mesure, des communistes. Il y a de quoi se poser des questions, quand le parti politique, qui était censé être le plus à gauche et avoir comme finalité une forme de dictature, a trouvé que LFI va trop loin dans les invectives ! Je sais que je l’ai toujours expliqué, l’écologie politique est une forme de falsification et de malhonnêteté intellectuelle. En effet, quand les écologistes comme D. Voynet qui, dans les années 2010, nous expliquait que le charbon n’était pas si problématique, nous ne pouvons que penser que derrière cette petite phrase, se cache toute l’ambiguïté des écologistes, toujours prêts à toutes les formes de malhonnêtetés pour appuyer leur discours. Et si demain nous rencontrons toujours des difficultés avec le changement climatique, ils en seront les principaux responsables. Car où trouver de l’intelligence et de la recherche quand les seuls censés défendre l’écologie, détruisent toute possibilité en trafiquant et manipulant la vérité !
Arrêtons de voter pour ces tricheurs, qu’ils soient des Extrêmes, à Gauche ou à Droite. Demain, personne ne vous rasera gratis et si jamais les mélenchonistes avec les écologistes arrivaient au pouvoir, ça ne serait pas seulement une perte des libertés qui commencerait, mais surtout une forme de dictature.
La prochaine tribune dans les prochains jours. – Philippe Sallanche 2024